C’est en paraphrasant un certain Ministre suisse que débute cet article. Ou comment, au détour d’une discussion avec une nutritionniste, nous nous sommes rendus compte de la complémentarité de nos activités: approche par la nutrition d’un côté, par l’activité physique de l’autre, pour un même but, le bien-être.

Je me base sur ma propre expérience, et celles de proches que j’ai motivés à (re)bouger. Moyennement sportif dans ma jeunesse, j’ai cessé de pratiquer le sport à l’orée de la trentaine. Travail, famille, c’était métro-boulot-dodo. Jusqu’à ce que mon médecin me fasse cette réflexion, l’air de rien: « Faudrait peut-être éviter de prendre 1-2 kg par année, non? ». Peu de temps après, un lendemain d’hier, un peu pâteux, l’idée me prend d’aller trottiner pour remettre les compteurs à zéro. Pénible sur le moment, ce retour à l’activité physique fut le déclic. Le plaisir est rapidement revenu, je ne peux plus m’en passer. Au bilan 8 kg vite perdus, et toujours pas repris quelque 15 ans plus tard. Mais surtout un grand sentiment de bien-être.

L’OMS recommande, pour les adultes de 18 à 64 ans,  au moins 150 minutes d’activité d’intensité modérée (endurance) durant la semaine. Je viens de tomber sur une étude publiée début janvier dans le Journal of American Medical Association, qui démontre qu’une telle activité peut être pratiquée uniquement sur le weekend en procurant des bienfaits quasi-équivalents en comparaison avec des sportifs plus réguliers. Bonne nouvelle donc: pas besoin de se lever tous les matins à 5h30 pour s’astreindre à son jogging quotidien.

C’est exactement ce que propose Rando-Santé: des balades, des randonnées axées sur le plaisir de découvrir des coins de notre magnifique contrée, en abordant des thèmes liés à l’alimentation, la nutrition, le choix et la préparation d’une randonnée par vous-même, une meilleure connaissance des environnements traversés, une émulation au travers du groupe.

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JS